Exposition bien faite et retour sur une histoire prestigieuse aux grands noms familiers - de Léger à Doisneau en passant par le Corbusier peintre, moins connu que le Corbusier, architecte...
Une femme avant-gardiste...
Des formes et compositions de formes inspirant les créations actuelles...
Art et histoire l’art...
A noter aussi la qualité des apports de la médiatrice
qui a accompagné les visites, tant celle de TOGUO que celle de Charlotte Perriand... Presque trop denses, appelant une nouvelle visite où chacun puisse découvrir en prenant des notes à sa façon, y compris avec son appareil photo -comme dans la plupart des musées et galeries aujourd’hui.
Qu’on interdise les flashs, qu’on interdise fermement toute utilisation commerciale, cela se comprend.
Qu’on ne laisse prendre ces notes utiles à la réflexion personnelle, nécessaires au travail d’éducation populaire - en plus de la visite guidée et de l’achat des livres en librairie, cela se comprend beaucoup moins... D’autant que le rôle de l’APN ou celui du téléphone ont fortement évolué... Se sont popularisés, sont devenus outils d’appréhension du monde... Cf dernier séminaire des Rencontres Internationales de la photo d’Arles (2012) !
Comme un anachronisme anti-pédagogique...
Ainsi, le travail d’exploitation en classe ne peut-il s’appuyer sur des déconstructions ou constructions d’images ?
Avant de retourner voir une exposition avec un groupe, vérifier qu’on disposera des conditions matérielles d’exploitation optima...
Bientôt des écrits divers...
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